Le "Brussels 30 Tour", la caravane estivale pour lancer la Semaine de la Mobilité
Entre mi-juillet et mi-août, le Brussels 30 Tour traversera la région, une caravane estivale en avant-goût de la Semaine de la Mobilité qui sera consacrée cette année à la "Ville 30". Bruxelles Mobilité organise pour l'instant un concours pour recueillir votre "meilleure raison" de souhaiter la Ville 30.

Le 1er janvier 2021, Bruxelles deviendra une Ville 30 et de nombreux arguments poussent à ce changement. Ceux et celles qui partagent leur raison personnelle de vouloir la Ville 30 sur les réseaux sociaux peuvent gagner un joli prix.
Sous le hashtag #Brussels30, vous pouvez créer et partager une story Facebook ou Instagram qui illustre l’avantage que représente pour vous le 30km/h. N’hésitez pas à utiliser des photos, émoticônes ou des hashtag. Les trois meilleurs participants ont une chance de gagner un vélo électrique Ahooga, un abonnement STIB ou un abonnement Swapfiets. Le concours se poursuit jusqu'à minuit le 15 juillet.
«Il existe de nombreuses raisons de mettre en place un régime de vitesse apaisé: davantage de sécurité, une meilleure qualité de l’air, moins de nuisances sonores , explique la Ministre de la Mobilité, des Travaux publics et de la Sécurité routière Elke Van den Brandt. « Le sondage réalisée dans le cadre de l'enquête publique du Plan Good Move nous indiquait que 74% des bruxellois voulaient évoluer dans des quartiers où roulent moins de voitures, et à une vitesse compatible avec la vie locale. Mais chaque habitant a sa propre raison de vouloir une Ville 30 et je suis curieuse de la connaitre ».
Après la mi-juillet, Bruxelles Mobilité organise quatre dimanche de suite le passage du Brussels 30 Tour à différents endroits de la capitale : première édition le 19 juillet au Bois de la Cambre.
Le Brussels 30 Tour comprend une exposition pop-up qui met en évidence les impacts positifs de la Ville 30, une application de réalité virtuelle pour en faire l'expérience, un cours de formation à la conduite pour les vélos et les mobilités alternatives et un stand de réparation pour les cyclistes.
Camille Thiry